Moi aussi j'y crois fermement à cette force et c'est bien ,elle ,qui nous permet d'avancer et puis tu sais j'ai tjrs entendu mon grand-père et même mon père dire que pour pouvoir se relever il fallait tomber jusqu'à terre et franchement je crois qu'ils avaient raison Nous ne sommes pas encore assez enfoncés pour prétendre à se relever...Nous sommes ainsi.... Amicales pensées et ne soyons pas défaitistes ,continuons à avancer malgré les embuches qui jonchent notre route .

@ l'attention de Francettedenbas uniquement : Prendre force, énergie vitale, celle que l'on retrouve également au niveau aurique, holistique...Vous utilisez le verbe : revigorer.Pour préserver cette force de vie et la laisser s'accroître il m'a fallu un très long et profond "recentrage" sur moi, un apprentissage dans la connaissance de soi-même, épanouissement du potentiel présent en chaque être vivant (chemin d'évolution, d'épanouissement, sans aller dans l'excès > l'égocentrisme etc), c'est un labeur difficile et complexe de réalignement énergétique par la méditation,la prière et surtout le silence. Lorsque l'être humain se reconnaît, à travers le silence, comme une énergie dynamique, il est une colonne (ou un canal) qui réunit la terre et le ciel. Il peut, alors, entrevoir l'action juste dans le monde de la matérialité (trois dimensions) ; cette reliance contribue à aller vers plus "d'humanité" en respectant l'équilibre de la vie, dans toute sa diversité.Plus l'humain va vers le silence, en ouvrant les portes successives sur des réalités différentes, mieux il entre dans la complexité de sa profondeur et plus il découvre à quel point il est relié à tout ce qui est > harmonie manifestée. Sa reliance l'unit aux autres êtres humains, évidemment, mais également aux êtres du monde animal et végétal, minéral. A ce moment seulement le ressenti prend toute son ampleur, sa beauté, sa vigueur, sa poésie, son sens sacré et/ou symbolique. L'énergie est la trame de la reliance qui unit chaque élément de ce qui est, en les fondant dans une seule substance, dont le fond est le silence.Et, parfois, très rarement dirais-je, il est possible de distinguer avec une acuité particulière ce que contiennent les écrits (l'intention), les paroles,actes,la physionomie des personnes. Il est envisageable également d'effleurer le sens intime de l'intelligence du monde et des mondes. Tout se réalise avec légereté, clarté, tout coule joyeusement. Rien, ni personne ne peut arrêter ce fleuve de vie hormis la maladie : mort,intime moment où cette force de vie nous quitte... ( ex. : force présente dans le flux respiratoire, dans la circulation sanguine chez l'humain, l'archet touche les cordes sensibles et la musique vivante s'exprime, élan créateur qui nous fonde comme êtres humains).Et, le seul fait de venir commenter votre texte sur la force de vie c'est un peu comme arracher des parcelles inconnues,voire inattendues à mon silence intérieur. Il me semble que toute force de vie est harmonie ou rencontre des contraires. Chacun est la part manquante d'un contraire. Au coeur même de la Source première ou Source de Vie, l'eau vive subsiste (résistance) et fait étinceler dans le fond des choses,des âges, mots, souvenirs et images un essentiel, présent, de toute éternité. Pour information,je me permets de déposer un extrait d'article intéressant à lire, dont l'auteur est René Barbier (professeur émérite en Sciences de l'éducation, institut des Sagesses du Monde).

De René Barbier. Je cite : Pourquoi tombons-nous malades ? Aussi bien physiquement que psychologiquement ? La médecine tente de trouver des remèdes et des explications en fonction d'un savoir qui cherche désespérément les causes d'une façon linéaire sans envisager la totalité des interactions homme-milieu, à la fois intra et extra corporelles. Sa logique, au moins en Occident, n'est pas de l'ordre de la complexité mais de la séparabilité. Elle traite un organe ou une fraction d'organe sans se préoccuper de l'ensemble de l'organisme. C'est la raison pour laquelle sa pharmacologie, ses médicaments prescrits, ont tant d'effets secondaires, pervers, imprévus sur des cas singuliers, même parfois après plusieurs générations. Il faut repenser complètement notre vision du monde. Si nous sommes sur cette terre, c'est parce qu'une Force de vie inconnue, incompréhensible, non maîtrisable, sans naissance et sans mort, nous a fait naître par le truchement d'autres vies (nos parents et leur désir). Cette Force de vie nous constitue radicalement depuis le moment de notre conception et nous donne cette "puissance d'agir" dont parlait Spinoza. Elle engendre tous les êtres vivants, du plus minuscule jusqu'au plus gigantesque, de la bactérie au diplodocus. Elle agit également dans le monde des idées, des mythes et des symboles et entraîne des découvertes de nouveaux mondes, des floraisons d'oeuvres scientifiques, artistiques, poétiques mais aussi des enfermements idéologiques et dogmatiques. Cette Force de vie demeure présente en nous jusqu'à notre mort. Mourir c'est s'éteindre à la Force de vie, l'oublier ou accepter qu'un autre élément de cette Force de vie (un microbe pathogène, une cellule cancéreuse) s'empare de nous, malgré ou à cause de notre complexité biologique supérieure. La maladie tombe sur nous comme un rapace sur un lapin sauvage parce que nous n'avons pas suffisamment fait attention à la Force de vie qui fait sens (qui donne une cohérence) à nos actions, à nos paroles, à nos relations au monde, aux autres et à nous-mêmes. Alors nous rencontrons d'autres éléments de cette Force de vie qui pouvaient vivre en nous, avec nous (éléments saprophytes) depuis longtemps. Ces éléments se réactivent et entreprennent la conquête de l'ensemble complexe qui constitue notre intégrité corporelle. Dans l'ordre du vivant, tout est complexité, tout est relation et rien n'est simple. C'est pourquoi pour comprendre la complexité, il faut toujours comme l'écrit Edgar Morin "savoir distinguer ce qui est confondu et relier ce qui est séparé".

..."L'essence (Dieu) anime la substance (l'homme). La vision De Spinoza étant panthéiste, elle observe donc le monde sous cet angle. Pour cette position, la liaison entre le biologique et l'atomique se réalise dans l'esprit de la créature. Autrement dit, la jonction entre Dieu et l'homme se réalise dans l'esprit humain...." je ne fais que citer, n'étant pas philosophe et pas croyante. Je pense seulement qu'effectivement que nous appartenons à un Univers et que ce n'est pas l'Univers qui nous appartient... quant aux maladies, beaucoup de chercheurs ont quand même prouvé que bacilles (de Koch par exemple) bactéries anaérobies et autres...existent et nous rendent malades et grâce à Fleming, nous guérissons beaucoup de maaldies infectieuses, quoique ces bébêtes deviennent de + en + résistantes aux antibiotiques... Il est vrai aussi, nous avons un déficit immunitaire lors d'un traumatisme et de ce fait, nous tomberons plus facilement malade... L'esprit et le corps ne font qu'UN.... tant que nous vivons... la seule "chose" qui reste "immortelle" est la bactérie originelle... Mais ce n'est qu'un avis d'une blonde pas très futée...La médecine n'est pas une science exacte en elle-même.La chimie oui. La mathématique aussi... pensées cordiales et pardonnez mon côté terre à terre d'être primaire....Je ne crois que ce que je vois... J'ai vu mourir et personne n'est revenu pour nous dire si un hypothétique dieu existait... Une fois le constat de décès dressé, le corps commence à pourrir et à se décomposer...comme le veulent les lois de la Nature qui régissent notre univers.

Merci pour vos commentaires et vos apports. Je crois que si la force de vie est en nous, ou du moins si nous la suivons parce que je crois qu'elle est en tout, elle survit à notre mort apparente. Ingrid, quand j'étais petite, j'ai voulu comme beaucoup d'autres enfants (nous ne naissions pas à l'époque avec un portable à l'oreille, un clavier sous les doigts et une TV devant les yeux), j'ai voulu donc ouvrir le poste de radio pour voir les lutins et les elfes qui parlaient, chantaient et jouaient de la musique. Mon papa m'a expliqué qu'il n'y avait personne dedans, que des fils (il m'a montré), que les gens qui parlaient étaient comme nous, mais ils étaient loin et seule leur voix nous parvenait, par des ondes qui ne se voient pas. j'ai été un peu déçue, j'aurais préféré des elfes. Pas troublée par l'invisibilité, les enfants savent bien qu'il y a des êtres que les adultes ne voient pas, il fallait seulement accepter que les enfants non plus ne voient pas tout ce qui existe. J'ai ccompris que quand la radio déraillait, ce n'était pas le chanteur qui était malade, ça venait d'ailleurs. Je ne confonds plus le poste de radio et le speaker, et je ne confonds pas non plus l'être humain et son corps. Ce ne sont que des ustensiles, qui vont bien ou mal et finissent par se détraquer et ne plus marcher. Mais nous continuonsà exister, ici ou ailleurs, avec un autre véhicule ou sans. Amitiés

quand j'étais enfant, Francette, je ne connaissais pas la radio, mais je savais déjà laver le linge à l'eau des fontaines des Alpes autrichiennes... Le 1er téléphone que j'eus en main, fut celui que mon oncle, mon aîné de 14 ans, avait fabriqué pour communiquer avec son meilleur ami Théo...ils sont devenus ingénieurs, par la suite, en peinant, car ils travaillaient pour se payer des études... quand j'étais encore môme, à Strasbourg, mon père ouvrait la fenêtre...pour écouter les nouvelles diffusées par la radio du voisin...quand ce dernier daignait ouvrir ses fenêtres, sachant parfaitement l'humiliation qu'il infligeait à mon papa. Oui, nous avons une force de vie incroyable en nous : je m'en suis encore aperçue le long du lent cheminement de l'agonie, dans des souffrances que je ne raconterai point. Elle s'est battue, comme un lion, pour ne pas mourir, même quand elle revenait à la conscience, comme une lueur d'espoir dans sa démence : elle disait en avoir assez et voulait qu'on l'aide à mourir. Son conscient voulait mourir, mais l'inconscient ? Nous n'avons pu que l'assister.. J'ai ressenti enfin la paix descendre en moi, quand les cendres de mon père et de ma mère furent mélangées au Jardin du Souvenir. Depuis, même quand le chagrin m'inonde, la sérénité de savoir qu'elle ne souffre plus me suffit à me rendre le sourire. Je sais que SON livre d'Histoire et d'histoires a été achevé, comme elle l'a voulu... maintenant, y-a-t-il quelque chose de nous qui "survit", je ne puis le dire. Mes parents ne mourront pour de bon que quand moi et mes enfants seront morts à notre tour, carde notre côté, il n'y a pas de petits-enfants. Ainsi va la vie, avec les lois de Dame Nature...et c'est peut-être bien ???!!!

Force et...authentique Beauté de Vie. Sur Youtube documentaire à méditer > "De chair et d'âme" (documentaire) : Une rencontre intense entre deux personnalités hors du commun: Alexandre Jollien, philosophe suisse handicapé, et Philippe Pozzo di Borgo, dont l'histoire a inspiré "Les Intouchables". Lien > http://youtu.be/wxJ5XcRTBLQ Titre > De chair et d'Âme.

Finalement, que voulons-nous et quelle inaccessible étoile nous fait avancer ainsi, de silence en regret, d'espoir en nostalgie..? Nous sommes tous panthéistes, ouverts sur un Grand Tout multiversel à l'échelle humaine, tous partis pour verser une larme ou se taire en mise à part pour éviter le ridicule appris dans la foule collégienne ou mondiale: Les ânes ibères lapidés à la Saint-Firmin sont encore partout, parce que trop roux, trop gros, trop petits, trop grands ou trop sensibles... Contrairement à d'autres élites qualifiées, j'oserai confier à tout les mondes mes soupirs de tarlouz et mes silences plombés, sans special-dedicace, juste un humain dans tout un monde galactique, sans dieu ni maître, sans capitaine, juste avec la Vie à aimer un jour, un vague demain à trouver enfin..! Dark Side of the Moon***