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Conte barbare 12
27/11/2011 16:35
Conscients que la partie féminine de la population avait une responsabilité dans les révoltescd'exclus et dans les traces d'humanité, ils avaient inventé le moyen de se passer des femmes pour procréer et pour se reproduire à l'infini,à leur propre image, libérés des affects et de la pensée, entièrement structurés pour l'adulation. La prochaine étape serait la suppression totale de la femme. Les foules ne diraient rien: elles étaient prêtes, maintenant habituées à la servilité
D'humain, le.mot lui-même tendait à disparaître. Les hommes étaient appelés «valeur marchande» ou «produit» pour les classes moyennes et, pour les misérables: «sans domicile», «sans papier» ou «terroriste» , ce dernier terme générique englobamt la presque totalité de la population vivante. Les peuples étaient accoutumés aux génocides et il ne s'agirait là que d'd'u. Simpli gynécide.
Mais pourraient-ils tenir jusqu'à cette prochaine étape?
Et si oui, que feraient-ils,après?
Ils n'avaient plus d'issue et ils le savaient
Alors ils continuaient à piaffer, à piaillet, à s'admirer, à s'entretuet
En attendant que la Terre ne se lasse, une nouvelle fois
A suivre
Commentaire de bipolaire (27/11/2011 17:03) :
Mon ange fredonne une toune de Brassens... Avant, les fiancés amoureux se
bécotaient en privé sur leur banc public, et le faisaient encore à l'âge de
la retraite, sans la langue, sans maudire, juste en se tenant par la
main... Un jour, il y eut Divorce, un 'tit démon qui s'invita (avec ses
chers avatars prénommés Famille Décomposée ou Parent Isolé) à notre table,
tel l'Ancien sympa de Vulcania, et l'Ange de l'Apocalypse dit que c'était
BIEN!:)
http://bipolaire.vip-blog.com/
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